Depuis le rachat de Twitter par Elon Musk, le milliardaire a effectué de nombreux changements sur le réseau-social. On vous propose aujourd’hui de se concentrer sur les bons.
Alors qu’on approche lentement, mais sûrement du premier anniversaire d’Elon Musk à la tête de Twitter, l’heure est venue d’observer les nombreux changements effectués par le milliardaire sur le réseau-social.
Aujourd’hui, nous ne reviendrons pas (ou peu) sur les multiples mauvaises modifications, mais nous nous attarderons davantage sur les bonnes. On a cherché et oui : il y en a !
L’arrivée des notes de contexte sur Twitter
Il s’agit sûrement du meilleur apport d’Elon Musk au réseau-social : les annotations de contexte.
Concrètement, il s’agit de simples messages épinglés par la communauté afin d’ajouter des informations à un tweet ou – dans le cadre des fakes news – de préciser qu’il s’agit d’un tweet mensonger.
Dans l’exemple ci-dessous, Andrew Tate – un homme d’affaires américain aux déclarations souvent « douteuses » – s’est vu doublement corrigé par les annotations.
Pour le contexte, le youtubeur MrBeast organisait un concours de likes sous son tweet indiquant que la réponse qui en aurait le plus gagnerait ses revenus mensuels générés par Twitter. Un Français @Arkunir avait alors répondu qu’il donnerait tout à la fondation 30 millions d’amis (qui protège les animaux) et a remporté le concours.
Andrew Tate accusait à la fois le français d’avoir triché en utilisant des bots – ce qui est faux – et d’avoir eu plus de likes que lui après la fin du décompte – ce qui est également faux. Grâce aux annotations, il est possible de voir directement la tentative de désinformation directement sur le tweet.
On a pris un exemple léger, mais cette même logique s’applique également aux déclarations de personnalités publiques et politiques.
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Les certifications payantes
Il n’est pas question ici de valider l’entièreté du nouveau processus pour obtenir la précieuse certification. Bien des aspects restent à corriger, mais le fait de pouvoir acquérir le précieux sésame sans avoir à prouver la nécessité de l’avoir est un véritable plus pour les influenceurs.
En effet, avec l’ancienne méthode, de nombreuses personnalités publiques n’avaient pas la certification et se retrouvaient obligées de négocier avec les services de Twitter – parfois en vain – afin de l’obtenir.
La méthode est aujourd’hui bien plus simple : il faut payer.
Les badges de couleurs différentes
On vous l’accorde, c’est une modification à l’intérêt minime. Mais pouvoir distinguer en un coup d’œil s’il s’agit d’un influenceur (bleu), d’un média (jaune) ou d’une personnalité politique (gris) est un petit plus visuel confortable pour les internautes.
Malheureusement, deux problèmes viennent ternir cette fonctionnalité :
- Les badges ne sont pas au même prix : les médias doivent payer bien plus cher pour obtenir le badge jaune que le bleu.
- Les personnalités publiques dans le même panier que les abonnés payants : si la couleur des deux autres badges permet d’établir assez rapidement leurs professions, le badge bleu est pour le moment assez peu lisible. On y retrouve à la fois le compte officiel de Leonardo Di Caprio et le compte des utilisateurs à 50 abonnés qui paient Twitter Blue…