Deux rêves qui se ressemblent : voler comme Peter Pan et respirer sous l’eau comme Aquaman. La plongée avec bouteille d’oxygène confère provisoirement cette aptitude à parcourir librement les trois dimensions. Vous n’avez jamais fait votre baptême de plongée sous-marine ? Ou bien c’était il y a longtemps, et vous aimeriez retrouver ces sensations autant de fois que vous voulez ? Alors lisez ce test Smaco S500, la mini-bouteille de plongée récréative. Destiné au snorkeling (randonnée subaquatique) et aux courts travaux de maintenance (coque de bateau, piscine), cet objet surprenant vous donnera un avant-goût d’aventure. Un outil (pas un jouet !) parfait pour apprendre le b.a.-ba de la plongée avec des premières sensations promptes à vous mettre en appétit. Deux maîtres mots cependant, avant de jouer les Cousteau dans notre test Smaco S500 : sécurité et huile de coude ! Découverte d’un matériel abordable et prometteur.
- Test Smaco S500 : Fiche des Caractéristiques Techniques
- Unboxing de la mini-bouteille de plongée S500 : du matériel qui a l’air solide
- Préparation du test Smaco S500 avec le montage de la mini-bouteille : niveau « très facile »
- Assemblage de la pompe manuelle à double action Smaco : niveau « facile »
- Remplissage de la mini-bouteille de plongée Smaco S500 avec la pompe : niveau « absolutely hard » !
- Test Smaco S500 dans l’eau : un véritable plaisir mais de courte durée
- Test Smaco S500 : les bonnes pratiques après usage
- Verdict Test Smaco S500 : est-il intéressant d’acheter sa mini-bouteille de plongée ?
Mise à jour Août 2022 : produit retiré du marché suite à une décision du gouvernement : https://plongee.ffessm.fr/uploads/media/default/0001/08/2febb21e39fe124b2192cec383ec36dfd828083e.pdf
LES PLUS
- Facile à transporter et à monter
- Équipement léger
- Du matériel de plongée très abordable
- De véritables sensations pour les débutants
- Plusieurs moyens de remplir la mini-bouteille
LES MOINS
- Le remplissage manuel est long et fatigant
- Difficile d’atteindre les 12 minutes d’autonomie
- Notice non-traduite en français
- Beaucoup de précautions d’usage
Test Smaco S500 : Fiche des Caractéristiques Techniques
Bouteille de Plongée
- Nom du produit : S500
- Dimensions : 36.3 x 6 cm
- Poids : entre 0.998 kg (vide) et 1.635 kg (pleine)
- Matériaux : Aluminium Aéronautique et Silicone
- Capacité : 0,7 L
- Pression Max : 200 bars
- Autonomie Annoncée : 10 à 12 minutes
- Couleurs : Noir, Orange, Jaune
- Profondeur débutant : 3 mètres
- Profondeur Max : 20 mètres
Pompe Manuelle Smaco
- Nom : Pompe Manuelle Double Action
- Longueur : 63 cm (ouvert) à 110 cm (fermé)
- Matériaux : Acier Inoxydable
- Pression Max : 300 bar
- Poids : 2,85 kg
- Efficacité : 10 bar/20 allers-retours
- Temps de remplissage S500 : entre 15 et 25 min
- Couleurs : Noir et Gris
- Prix initial : 140 €
Unboxing de la mini-bouteille de plongée S500 : du matériel qui a l’air solide
Vous avez pu le constater par vous-même : le packaging que nous avons reçu n’a rien de très affriolant. Juste le logo « Smaco » inscrit en rouge sur un carton blanc. Il convient donc de préciser que nous avons reçu un emballage B-to-B, et qu’un particulier aura sans doute une présentation plus adaptée. Quoi qu’il en soit, lorsqu’on l’ouvre, on trouve tout ce qu’il nous faut pour monter la mini-bouteille de plongée et la pompe manuelle. Tout est soigneusement placé dans un compartiment découpé dans une sorte de polystyrène sombre et relativement mou.
À en croire le Smaco Store, la pompe manuelle double action a une valeur marchande de 140 €. La bouteille seule, quant à elle, munie de sa lanière de sécurité, va chercher dans les 220 €. Nous voici donc avec un équipement équivalent approximativement à 360 €. Pour vous faire un ordre d’idée, son concurrent direct, j’ai nommé MiniDive, propose une bouteille de seulement 0,2 L + la pompe manuelle à 300 €. En outre, des alternatives existent, comme les bouteilles de plongées Karbones et DiDeep, mais avec des tarifs beaucoup moins intéressants. Enfin, des marques comme CARBONDIVE proposent des bouteilles de plongée de 10 L à 480 € (sans compresseur). Nous y reviendrons…
Contenu de notre boîte spéciale test Smaco S500
- Mini-Bouteille en Aluminium aéronautique
- Étage de décompression avec jauge de pression fluorescent
- Embout Buccal
- Lanière de sécurité
- Pompe manuelle Smaco avec support pliable
- Filtre à air
- Jauge de pression
- Câble Flexible
- Pipette pour huileJoints
- Clé allen
- Clé à molette fine
- Vis de montage et de décompression
- Embouts en mousse
- 3 Notices d’utilisation
Quand on n’a jamais fait de plongée autre qu’avec un tuba en plastique, on peut se trouver un peu impressionné par cet équipement fait de matériaux lourds, noirs et clinquants. Rassurez-vous, tout est très facile à assembler. C’est tant mieux d’ailleurs, car les guides d’utilisation ne proposent pas de traduction française.
Les anglophones s’en sortiront, malgré certains mots du jargon de la plongée sous-marine qui pourraient leur échapper. Sinon, les illustrations suffisent à réaliser chaque étape sans avoir à s’y reprendre à deux fois. D’autre part, l’on a apprécié recevoir les bons outils de serrage, mais nous ne saurions dire si les clés à molette et allen font partie du package B-to-C. Dans le doute, il sera bon de vérifier de quoi se compose votre caisse à outils !
Préparation du test Smaco S500 avec le montage de la mini-bouteille : niveau « très facile »
Quand vous avez identifié quels éléments appartenaient à la bouteille, quelques secondes suffisent à tout mettre en place.
D’abord, il faut installer l‘étage de décompression par-dessus votre mini-bouteille en aluminium. L’embout dévissable est recouvert d’un cache rouge, qu’il suffit d’ôter avant de procéder au vissage à la main. L’opération n’oppose aucune résistance, et il vous reste à trouver l’embout buccal en caoutchouc noir.
Là encore, rien de plus intuitif : vous vissez l’embout sur la seule partie possible de l’étage de décompression. Votre bouteille est fin prête à être remplie d’air comprimé ! Comme nous n’avions pas de compresseur électrique sous la main, il nous a fallu utiliser la pompe à air manuelle, dont l’assemblage est à peine plus compliqué.
Assemblage de la pompe manuelle à double action Smaco : niveau « facile »
Voici la première partie avec son socle déplié. Le tout, fabriqué en acier, est relativement lourd. Nous le verrons, le socle pliable nous sera d’un grand secours. Excellent point pour l’ergonomie ! D’abord, vous pouvez commencer par fixer la jauge de pression qui, comme on le voit ci-dessous, se visse à la main, mais pas que. Un écrou non-visible sur la photo vous permettra de bien serrer ce composant au moyen de la clé à molette. Cette fameuse jauge indiquant les bar et les psi (pound per square inch ou « livre par pouce au carré ») vous sera d’une grande aide psychologique lorsqu’il s’agira de pomper…
Puis, juste avant de positionner le câble de transmission d’air, placez-y le filtre à air bleu chromé pour obtenir le composant de la photo qui suit.
Ensuite arrive l’étape à peine plus technique du vissage du câble de transmission d’air à la pompe (oui, on visse de partout aujourd’hui). L’unique difficulté réside dans le fait de prendre le câble relativement haut pour réussir à le faire tourner dans son trou. Après, encore un petit coup de clé à molette pour que le tout soit maintenu à fond et ne laisse jamais échapper d’air (voir ci-dessous).
Enfin, il vous reste à fixer la poignée, au moyen de deux vis noires et de la clé allen. Certes, vous devrez tâtonner un peu pour trouver le trou, mais sans plus de difficulté que ça.
Vous voici donc avec une pompe manuelle flambant neuve et prête à l’emploi ! Petit conseil avant d’entamer la prochaine étape : faites un circuit d’échauffement pour les épaules, les triceps et les lombaires…
Remplissage de la mini-bouteille de plongée Smaco S500 avec la pompe : niveau « absolutely hard » !
On a ménagé nos effets d’annonce ; on en arrive enfin au moment critique de notre test Smaco S500. Pas tant en matière de bricolage qu’en termes purement physiques. Si vous appréciez particulièrement faire des pompes et des squats, ce sera le moment de vous distinguer. Mais chaque chose en son temps, et plaçons d’abord le matériel dans les bonnes conditions pour travailler.
Mise en place du câble et du filtre à air comprimé
Pour fixer le filtre à l’étage de décompression de la bouteille, rien de plus simple : vous tirez sur l’anneau doré et vous le placez sur la pipette métallique. Lâchez l’anneau qui devrait alors se fixer et ne plus bouger. La mini-bouteille est à présent reliée à la pompe à air.
Il est désormais l’heure de laisser s’exprimer le Schwarzenegger qui sommeille en vous !
Phase de pompage : un moment éprouvant
Nous voici donc dehors à suer sang et eau pour faire grimper la flèche de la jauge de pression. Dans l’absolu, le mécanisme fonctionne parfaitement. Au début, on a l’impression de ne rien pomper, mais l’indicateur finit par réagir et monter très progressivement. Seul, nous avons mis 25 minutes à le remplir. Car non seulement on a besoin de faire des pauses, mais le tube aussi, lequel chauffe beaucoup avec la pression qui monte et qui frotte sur les parois. Ainsi, pour éviter la surchauffe de vos membres et de la pompe, il convient de s’arrêter régulièrement pendant une bonne minute. Mieux vaut l’utiliser pour une mini-bouteille S300 de 0,5L max.
Certes, c’est le moment très désagréable, il faut bien l’admettre, de notre expérience utilisateur. Néanmoins, si vous vous relayez à deux, à trois ou à quatre (toujours en conservant des pauses pour refroidir l’appareil) c’est tout de suite beaucoup moins contraignant. Mais toujours très long ! Par ailleurs, l’exercice devient de plus en plus difficile à mesure que s’accumulent les bars : la pompe résiste, et seuls des mouvements lents et très amples gardent un peu d’efficacité. À cet égard, la notice vous demande de ne pas dépasser les 200 bars ou 3000 psi. Vous pouvez donc le vérifier sur les deux jauges de pression (celle de l’étage de décompression de la bouteille et celle posée au-dessus du socle). Mais honnêtement, le risque de passer dans le rouge est quasi-nul, à moins de s’appeler Dwayne Johnson…
Une fois que vous êtes arrivé au bout, vous aurez évidemment besoin de retirer le câble. Or la pression accumulée vous empêchera de tirer sur l’anneau pour le dégager de la bouteille. Afin d’y parvenir sans peine, vous n’aurez qu’à utiliser le système ingénieux situé à la base de la pompe : un autre boulon doré qui libère l’air et permet de retirer l’anneau du haut. Ça y est : la petite sirène n’a qu’à bien se tenir !
Autres solutions pour remplir votre mini-bouteille de plongée
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe moins fatigant et plus rapide. La mauvaise, c’est que c’est plus onéreux et pas toujours beaucoup plus pratique… En effet, la première solution alternative est l’usage d’une bouteille de plongée classique, en utilisant un adaptateur ETRIET.
L’idée est de remplir votre mini-bouteille à partir d’une réserve d’oxygène plus conséquente. Cela étant, cela signifie investir dans une autre bouteille plus grande, difficile à trouver en dessous de 200 € pour 5 L (environ 5 € le remplissage chez un spécialiste). La seconde solution peut paraître séduisante, puisqu’elle consiste à utiliser un compresseur électrique pour remplir directement votre S500. Seulement, il vous faudra une source d’électricité (batterie 12 V ou prise). Certes, on peut le brancher sur une batterie de bateau ou de voiture, mais il faut compter 15 minutes pour remplir les S300, 20 minutes pour les S500 et 30 minutes pour les S400. De plus, la machine est bruyante. Ces contraintes compliquent un peu les choses pour aller à la plage… Mais il s’avère qu’en plus, SMACO recommande plutôt leurs propres compresseurs. Il est vrai que les compresseurs de plongée ont la particularité de purifier l’air, ce qui n’est pas le cas d’un compresseur haute pression classique. Ainsi, c’est une solution préférable, mais que vous aurez du mal à vous procurer au-dessous de 400 € !
Et pour un compresseur 220 V, le temps de remplissage diminue pour se situer entre 6 et 12 minutes. Cependant, il requiert une bassine d’eau pour y plonger la pompe à liquide de refroidissement du système (comme ci-dessus). Autant dire que le produit, aussi prometteur soit-il, rencontre de véritables problèmes de mise en œuvre simple, du moins si l’on ne veut pas dépenser beaucoup plus que pour le kit de départ…
Test Smaco S500 dans l’eau : un véritable plaisir mais de courte durée
Enfin ! Nous voici à quelques secondes d’utiliser notre nouveau super pouvoir. Mais quand on n’a pas l’habitude c’est un peu effrayant de tenir une bouteille en aluminium désormais lourde de 1,635 kg dans laquelle on sait qu’il y a 200 bars de pression. Pour vous rassurer, mais aussi pour vous protéger, lisez attentivement ce qui suit.
Test Smaco S500 : consignes de sécurité
Sur leur site internet, Smaco nous met tout de suite en garde : “Une mauvaise utilisation de ce produit peut entraîner des risques d’accident grave, voire causer la mort. […] Les mini-bouteilles de plongée Smaco ne sont pas des jouets.” Pas de panique ! Le gaz de vos plaques de cuisson, si mal utilisé, peut également provoquer la mort. Pourtant, vous avez appris depuis longtemps à cuisiner de délicieuses gambas… Cependant, il est certes plus prudent d’avoir déjà fait son baptême de plongée sous-marine avant d’utiliser une S500. À l’instar de ce cobaye déterminé qui connaît déjà les bonnes pratiques.
Sinon, ne vous lancez pas sans observer ces quelques consignes :
- les mineurs ne doivent pas utiliser de mini-bouteille sans la surveillance d’un parent ou tuteur adulte ;
- ne bloquez pas votre respiration pour augmenter l’autonomie de la bouteille ;
- évitez de remonter à la surface trop rapidement ;
- pour les débutants, attention à ne pas descendre au-dessous de 3 mètres de profondeur ;
- portez des lunettes de plongée afin de gagner en confort et faire baisser le stress.
Premiers pas sous l’eau
Pour respirer avec la bouteille, maintenez entre vos dents l’embout buccal en caoutchouc. Une fois dans l’eau, il n’y aura plus besoin de tenir la bouteille avec la main. Cependant, il se peut que ce nouvel appendice vous gêne un peu pour couler et nager tranquillement. Cela dépend de l’individu. Pour nous, le test s’est passé sans encombres. Mais avant de passer à la vidéo, jetez un œil à la commande ci-dessous.
Sur l’étage de décompression, vous pouvez régler le volume d’air qui se dégage de la bouteille. De cette manière, si vous êtes particulièrement à l’aise, l’ouverture minimum vous permettra de gagner pas mal de temps. Cependant, pour nous, c’est encore un débit trop faible pour ne pas remonter rapidement à la surface.
Outre le test de notre premier cobaye, nous avons chronométré des résultats différents. Pour l’instant, aucun des volontaires n’a réussi à passer au-dessus de la barre des 6 minutes, avec une ouverture supérieure à 50%. Le temps le plus court a même été de 3 min 30 environ. Autant dire que l’autonomie est très inégale en fonction de qui utilise la bouteille et comment la personne s’y prend. Ainsi, s’il est sans doute possible d’atteindre les 12 minutes annoncées, cela ne se fera pas du premier coup, loin de là ! Notez que certains modèles Smaco disent pouvoir atteindre les 20 minutes, mais nous gageons qu’il faille être expérimenté pour un tel résultat. Il est donc indispensable d’avoir un faible niveau de stress et de profondeur, une respiration continue et une excellente condition physique. Quant aux sensations, il convient de l’admettre : c’est un plaisir inouï ! On se sent d’autant plus libre que l’équipement est léger, même dans une simple piscine.
Test Smaco S500 : les bonnes pratiques après usage
Après avoir profité de quelques minutes de bonheur, il faudra revenir aux contraintes de l’entretien… D’abord, dès que vous avez terminé votre séance, appuyez sur la partie orange afin de vider tout le gaz qui pourrait rester.
En effet, il ne faut jamais stocker l’objet lorsqu’il est encore sous pression. Idem lorsqu’il s’agit de la transporter. Nota Bene : il est possible de l’embarquer lorsque vous prenez l’avion. D’autre part, la mini-bouteille aura besoin d’être rincée à l’eau claire à chaque utilisation. C’est valable aussi bien pour la mer que pour la piscine. Enfin, il convient de ranger votre matériel dans un endroit sombre, sec et à température modérée. Mais pas dans le placard des Oréo, ça n’aurait aucun sens…
Verdict Test Smaco S500 : est-il intéressant d’acheter sa mini-bouteille de plongée ?
Pour une fois, répondre à la question est une véritable gageure… Le premier point à souligner est que l’appareil est tout à fait fonctionnel. À cet égard, les sensations qu’il procure sont largement à hauteur de la promesse de Smaco. Toutefois, le hic est énorme… En mettant de côté l’autonomie très rapidement limitée d’une mini-bouteille de 0,7 L, la phase de remplissage est terriblement contraignante (+ de 25 min facile !). Soit chère, soit longue et éprouvante, soit inadaptée en fonction du lieu, la solution vous semblera toujours coûteuse comparativement aux avantages qu’elle procure. En revanche, le jour où il deviendra possible d’employer un moyen de remplissage sans fil, peu coûteux, mais également plus rapide, on aura décroché la timbale !
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Quelques conseils si vous hésitez
La pompe manuelle reste ce qu’il y a de plus démocratique, et rien ne vous empêche de vous y prendre à plusieurs. Avec un peu de bonne volonté, on peut accepter l’idée qu’elle occasionne un petit renforcement musculaire. D’autre part, il est vrai sur d’autres modèles S300/S300+ de 0,5 L, vous mettrez moins de temps à atteindre les 200 bars à la pompe. En conséquence, nous ne pouvons conseiller ce produit que dans le cadre d’une petite initiation à la plongée, si possible avec quelqu’un qui sait déjà comment ça marche. Apprendre à atteindre les 12 minutes d’autonomie en respirant lentement est probablement un entraînement intéressant. En résumé, un produit de très bonne facture dans l’absolu, mais qui requiert beaucoup de patience, une aisance financière ou de posséder déjà du matériel de plongée pour pallier les problèmes de mise en place.
Smaco est sur le point de révolutionner les vacances sur la plage. Sur le point seulement ? C’est en effet ce que nous pensons car, malgré notre émerveillement au moment de mettre la tête sous l’eau, remplir la bouteille d’air comprimé est bien trop contraignant, malgré toutes les solutions proposées. Toutefois, nous louons fortement la démarche consistant à démocratiser la découverte des fonds marins près des côtes (tout en respectant l’environnement le plus possible). Ainsi, nous avons été très sensibles à ce petit goût d’exploration laissé en bouche. Mais quand les lombaires ou le portefeuille protestent, l’on ne peut résolument rendre une note plus haute qu’un 7/10 un peu conciliant, doublé de nos plus vifs encouragements pour continuer de défier les dures lois de la physique, dont nous-même, reconnaissons-le, ne savons pas grand-chose…
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Qualité des matériaux
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Entretien
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Autonomie
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Prix
Les bouteilles Smaco viennent d’être interdites de vente en France, car non conforme aux normes européennes.
retiré du marché juste pour la bouteille de 2 litres ce n est pas celle de l exemple dans l article.
la bouteille de 1 litre et 0,5 litre sont aux normes.