On peut le dire désormais : les meilleurs robots aspirateurs-laveurs sont sur meilleure-innovation.com. C’est pourquoi il nous fallait absolument procéder au test Deebot T10 Turbo pour compléter notre belle collection. Le fabricant Ecovacs n’en est pas à son coup d’essai dans la gamme des Deebot, et s’est déjà fait remarquer avec la série X1. Aujourd’hui, notre challenger vient bousculer les codes en proposant des innovations audacieuses : caméra embarquée, serpillère rotative, assistant vocal intégré, cartographie 3D pour moins de 1 000 €, le tout incluant la station auto-nettoyante. Bijou ultime de l’aspirateur high-tech ? Ou somme de gadgets à la mode ? On va décortiquer cela pour vous, en détaillant la fiche technique, la capacité de navigation, meilleures options de l’appli smartphone, pour finir sur l’efficacité de l’aspiration et du nettoyage…
- Où acheter le Deebot T10 Turbo au meilleur prix ?
- Fiche caractéristiques techniques
- Unboxing et mise en place : 15 minutes chrono (cartographie incluse)
- Test Ecovacs Deebot T10 Turbo : quelle efficacité ?
- Entretien facile et semi-automatique
- Verdict Test Deebot T10 Turbo : un achat qui en vaut la peine ?
- Où acheter le Deebot T10 Turbo au meilleur prix ?
Où acheter le Deebot T10 Turbo au meilleur prix ?
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DEEBOT T10 TURBOAspirateur robot connecté 2 en 1 - aspire et nettoie / Système de nettoyage à 4 niveaux - Intelligence artificielle - Reconnait et évite les obstacles / Programmation par zone - Cartographie 3 étages / Lingettes de nettoyage lavables incluses1005.28 €0 €1005.28 €Voir
Les plus
Les moins
Fiche caractéristiques techniques
- Dimensions : 35,3 x 35,3 x 10,3
- Bac à poussières : 400 ml
- Serpillère rotative : 180 rotations/min pour 6N de pression
- Aspiration : 3000 Pa
- Batterie : Li-ion 5200mAh
- Autonomie : 260 min max
- Système de filtration : 99 % des micro poussières et allergène d’environ 0,3-0,5 μm
- Temps de charge : 6,5 h
- Volume sonore : 67 dB
- Caméra HD 960P embarquée
- Navigation : TrueMapping 2.0
- Détection de tapis : oui
- Cartographie 3D : oui
- Station de charge Turbo : auto-nettoyante
- Assistant vocal intelligent : YIKO
Unboxing et mise en place : 15 minutes chrono (cartographie incluse)
Dans un packaging aux contours chargés d’informations, les éléments de la boîte sont bien compartimentés. Chaque partie encartonnée est protégée dans les coins par un matériau à mi-chemin entre la mousse et le polystyrène. Un colis presque sans espace vide, qui ne craint par conséquent aucune secousse.
Ce qu’on trouve dans la boîte (tout est presque prêt !)
- un robot-aspirateur ;
- 1 station de recharge auto-nettoyante ;
- 2 brosse latérales ;
- un cordon d’alimentation ;
- 2 plaques rotatives + patins ;
- 1 mode d’emploi ;
- 2 brosses d’entretien (dont une dans la station)
Design Deebot T10 : on préfère l’aspirateur à la station
Même s’il arbore un design très classique, le Deebot T10, d’une blancheur éclatante, attire facilement l’œil. La plaque de dessus, complètement amovible, reflète agréablement la lumière, mais prend rapidement les traces de doigts. En outre, le choix d’un blanc homogène condamne le dessous de votre appareil à se faire lourdement souiller au premier passage sur une tache un peu copieuse.
Comme d’habitude, les commandes manuelles se situent sous le capot. On y trouve aussi le micro destiné à la commande vocale et le bac à détritus. L’avant du Deebot T10 est équipé d’une caméra AIVI, accompagnée de son voyant. Sur le dessus, le capteur de distance dépasse de 2 cm vers le haut.
De son côté, la partie inférieure (ci-dessus) comprend :
- 2 roues motrices avec battement (pour passer les margelles)
- une 3ème roue à l’avant ;
- la brosse principale ;
- les 2 brossettes latérales ;
- 6 capteurs de chute ;
- 2 fixations pour les patins de nettoyage.
Enfin, deux mots sur la station nettoyante… esthétiquement on a vu mieux. Ce gros bloc blanc traversé d’une large bande d’un gris ressemble un peu à une imprimante.
Mais on s’y fait, et le choix des couleurs reste passe-partout. Quoi qu’il en soit, l’essentiel est là, puisque l’accès aux bacs à eau propre et à eaux usées est simple comme bonjour. L’eau propre servira à humidifier les serpillères entre deux sessions de nettoyage (toutes les 6, 10 ou 15 minutes selon votre convenance).
On y trouve également trois commandes manuelles, à savoir de gauche à droite : ajout/retrait de l’eau dans le bac, lancement rapide d’un cycle et retour à la station. En outre, la station embarque une innovation intéressante : le séchage à air chaud des patins, qui dure 2, 3 ou 4 heures (vous pouvez choisir en fonction de la saison). L’ensemble permet aux lingettes de tenir plus longtemps sans avoir à passer à la machine et de ne pas sentir le moisi. Sur ce point, le Deebot T10 Turbo surpasse le Roborock S7.
Comment connecter son aspirateur-laveur au réseau Wi-Fi domestique ?
D’abord, il s’agit évidemment de brancher la station quelque part. Choisissez un endroit plutôt centralisé, en laissant une marge de 50 cm sur chaque côté et environ 1m50 à l’avant, pour aider l’appareil à manœuvrer. Placez-y enfin le Deebot T10 (caméra tournée vers l’extérieur), qu’il faudra allumer auparavant (bouton on/off sous le capot), afin qu’il se recharge.
Deuxième étape : récupérez votre code Wi-Fi (2,4 GHz ou 2,4/5 GHz) et téléchargez l’appli Ecovacs Home sur le Playstore. Ne vous fiez pas à la note assez faible, car il semble que l’appli ait connu de multiples mises à jour en quelques mois. Ensuite, il va falloir vous créer un compte (mail + mot de passe, et en avant la musique !).
Enfin, trouvez votre modèle sur l’appli, à savoir le magnifique Deebot T10 Turbo. Restez non loin de l’appareil, afin d’appuyer sur le bouton reset au moment où le guide vous en fera la demande. Une fois cette étape franchie, ce n’est plus qu’une question de secondes avant que l’affaire ne soit définitivement bouclée. Très vite, vous aurez accès aux premiers réglages, y compris la langue de l’appareil.
Nota Bene : si vous rencontrez un problème en cours de route, vérifiez que votre VPN n’est pas activé sur le téléphone, car il peut entraver la connexion (précision aiguisée du guide sur ce point !). Pour rester protégés, vous pourrez utiliser la fonction split tunneling de votre réseau privé virtuel afin de permettre à Ecovacs Home seul de le contourner sans avoir à le suspendre.
Cartographie express
On espère que votre domicile est plutôt bien rangé, car le robot-aspirateur n’a pas le temps de niaiser ! À peine est-il connecté à votre Wi-Fi qu’il vous propose de passer directement à la cartographie, durant laquelle il ne touchera pas à la saleté. Sur un peu moins de 100 m2 de surface, l’opération a duré moins de 10 minutes.
À la fin, étrangement, l’appareil a eu un coup de mou, et n’a pas retrouvé sa station qui se dressait juste à sa droite. Mais pas de panique, après qu’on a relancé un “retour à la station”, il s’est remis instantanément sur les rails !
Comment modifier les différentes zones sur Ecovacs Home ?
Pendant que le Deebot T10 se repose, vous pouvez accéder à la gestion des cartes. Dans un premier temps, vous allez pouvoir reconfigurer la distribution des pièces, en séparant ou en fusionnant des zones. Ensuite, vous pourrez renommer chaque coin initialement mal identifié par l’appareil.
Et si la motivation vous gagne, vous pouvez paramétrer votre carte en 3D. Avec le Roborock S7, la chose n’était possible que sur les dernières versions d’iOS, ce qui a valu son lot de déceptions à pas mal d’utilisateurs. C’est donc une belle prouesse de la part d’Ecovacs. Quoi qu’il en soit, pour nous, cela revient un peu à jouer au Sims : vous placez laborieusement vos meubles en estimant leur taille à la louche, tout ça pour utiliser la fonction “passer sous les meubles”. Cela peut être plaisant à faire, il est vrai, mais quant à savoir si cela représente un gain de temps réel par la suite… difficile à dire !
Test Ecovacs Deebot T10 Turbo : quelle efficacité ?
Jusqu’ici, on peut résolument dire que l’installation s’est déroulée sans fausses notes. Mais c’est maintenant qu’il s’agit de marquer des points ! On a donc pris le temps d’examiner l’application, la navigation et la force de nettoyage de cet aspirateur-laveur qui figure, on le rappelle, parmi les plus haut-de-gamme qu’on ait testés pour l’instant.
Application Ecovacs Home : pléthore de fonctionnalités avancées
D’un point de vue UX/UI (ergonomie et esthétique graphique), Ecovacs Home ressemble d’assez près aux applis qu’on a déjà vues ailleurs, et c’est tant mieux, car c’est bien fait, intuitif et agréable à l’œil.
L’interface affiche en premier les commandes destinées à une mise en marche rapide, comme :
- le choix entre nettoyage automatique, personnalisé ou par zone ;
- 2 modes de serpillères (“standard” ou “en profondeur”) ;
- un bouton “serpillère uniquement” ;
- le nombre de passages par zone (1 ou 2 fois) ;
- 4 puissances d’aspiration
Nous n’avons pas ressenti le besoin d’essayer le mode “serpillère uniquement”. En effet, même si les sols sont déjà dépourvus de grosses particules, pourquoi se passer de l’aspiration qui filtre 99% des allergènes, surtout avec une autonomie aussi confortable ?
Options de programmation pour un nettoyage intelligent
C’est peut-être sur les options avancées qu’on peut avoir tendance à se perdre avec l’interface. En effet, il y a trois manières de paramétrer votre cycle de lavage. Pour y accéder, le plus simple est de passer par l’onglet “Personnalisé”. Vous y trouverez les intitulés “Séquence de nettoyage”, “Nettoyage intelligent” et “Programme de nettoyage”. C’est plutôt coton de saisir la différence au premier coup d’œil, alors voilà ce qu’il en est :
- la séquence de nettoyage vous permet de tracer le parcours de votre appareil en sélectionnant l’ordre des pièces à visiter ;
- “nettoyage intelligent” permet de déterminer le degré d’humidité des lingettes, la fréquence de rinçage des patins pendant un cycle, et le temps de séchage à l’air chaud une fois le programme terminé ;
- le programme de nettoyage enfin, sert simplement à définir un horaire de passage quotidien sur une zone en particulier ou sur l’ensemble de la surface lavable.
À tout cela s’ajoutent les limites virtuelles pour interdire un accès et la possibilité de déterminer une zone plus spécifique pour un lavage express. Enfin, dans les paramètres, on trouve évidemment la fonction “ne pas déranger”, qui désactive toute mise en marche automatique dans la tranche horaire que vous aurez définie.
Assistant vocal Yiko à améliorer
D’habitude, on ne prend pas forcément le temps de commenter la commande vocale, disponible sur beaucoup d’aspi-robots de la nouvelle génération. Mais là, Ecovacs nous a amadoué avec son propre assistant vocal Yiko, que nous avons eu cette fois la curiosité d’essayer. Mais le résultat ne nous a pas vraiment convaincu.
En effet, c’est très laborieux. Entre chaque indication, il faut repasser par la boucle dialogique “Ok Yiko…” ; “Je suis ici” ; “nom de la requête”.. Et malgré nos efforts pour nous faire bien comprendre, le robot est perdu les ¾ du temps, car :
- il n’a pas entendu à cause du bruit d’aspiration ;
- la commande est incompatible avec le contexte (par exemple : demander une tâche pendant que la précédente a été mise en suspens) ;
- les paroles prononcées ne sont pas exactement celles attendues dans le process ;
- etc.
Et quand on dit “et caetera”, c’est parce qu’il reste toutes les fois où l’on n’a pas compris pourquoi l’aspirateur ne saisissait pas notre demande. Dernier point noir à ce sujet, et pas des moindres : le message d’erreur suite à un défaut de compréhension est beaucoup trop long ! Tellement que nous n’avons pas eu cœur à nous le refaire dicter ici par la machine. Ok, les malentendus, ça arrive, mais on aurait au moins souhaité pouvoir reformuler notre requête dans la seconde.
Un mode caméra qui fonctionne ! Mais quelle utilité ?
Avec un champ de vision approchant les 150°, la caméra HD 960P embarquée est accessible soit à l’ouverture de l’application (“accéder gest.vidéo”), soit dans les paramètres généraux, symbolisés par l’icône en forme d’écrou. Un petit plus pour demander à votre aspirateur-robot de surveiller un peu ce qu’il se passe chez vous en votre absence et de vous transmettre les images en temps réel.
Ecovacs argumente même sur son site : “la fonction de vidéo et de communication en temps réel de Deebot T10 Turbo permet aux utilisateurs de rester en contact avec les membres de leur famille à la maison”. Pourquoi pas… mais nous n’avons pas éprouvé le devoir ni le besoin de vous en faire un compte-rendu. En effet, selon nous, le Deebot T10 n’a pas besoin de cette fantaisie pour vous prouver sa valeur.
Une navigation déjà presque parfaite
On en arrive enfin au lancement du Deebot T10 Turbo pour un premier cycle de nettoyage de routine, aspirateur et serpillère. En matière de navigation, le résultat est tout à fait conforme à nos attentes. On observe de belles lignes droites le long des plinthes, le contournement d’obstacles assez volumineux (comme M. Nounours ci-dessous), le passage dans chaque pièce sans en oublier une seule et le retour à la station sans encombres.
Cela étant, comme le Roborock S7 Pro Ultra, le Deebot T10 Turbo n’a pas réussi le challenge du Rubik’s cube, lequel s’est fait bousculer sans cérémonie. D’autre part, certains pieds de chaise de la maison étant très fins, ils ont nécessité l’intervention du bumper pour correction de la trajectoire du robot. Qu’importe, pourvu que la cuisine soit propre à la fin !
Concernant les fils, en revanche, on a été successivement agréablement surpris puis déçu. En fait, pendant un cycle, notre vaillant challenger s’est évertué à éviter notre gros câble d’ordi et à contourner un petit chargeur de smartphone que nous avions perfidement disposé sur sa route. Alors ça, c’est mieux que tout ce que nous avons testé jusqu’ici ! Mais… une fois le nettoyage terminé et qu’il a été question de rentrer au bercail, Deebot T10 a oublié tous ses principes et s’est rué vers sa niche sans plus aucun égard pour les fils électriques, lesquels se sont vus lamentablement embarquer par la bestiole en furie. Bon…
Un robot qui apprend (et ça c’est énorme !)
Cela étant Ecovacs propose aux utilisateurs de participer activement aux itérations qui contribueront à la mise à jour de leur appareil. Dans cette perspective, l’utilisateur peut s’amuser à effectuer les “Fonctionnalités du laboratoire”. En ce moment, il s’agit de l’« élimination stratégique des particules », servant à éviter de projeter les corpuscules (riz, grains, etc.) sur le côté. Ça a l’air de fonctionner… D’autre part, vous pouvez intégrer le “programme d’amélioration du produit”, qui permet à la société de recevoir les données émanant de votre appareil. Le but est, dans l’ensemble, d’aider l’IA à progresser pour une navigation de plus en plus précise quant à l’évitement d’obstacle et à la planification de la trajectoire. Ecovacs promet de petites récompenses aux contributeurs, mais le mieux est de voir votre aspirateur devenir de plus en plus performant au fil des semaines (un peu grâce à vous) !
Journal des sessions de lavage
On terminera sur cette fonctionnalité bien pratique : le journal des sessions de lavage, qui permet de retrouver toutes les informations concernant les cycles précédents. On peut ainsi récupérer la superficie nettoyée, le temps que ça a pris, et le parcours tracé sur la carte.
Aspiration et Serpillère : le job est (bien) fait
Même si c’est l’essentiel, c’est sans doute la partie où il y a le moins à dire. Nous avons fait aspirer des graines de chanvre (réussite à 100%) et passer la serpillère un peu partout, avec pour résultat une belle solution noire dans le bac à eaux usées.
Et ce sans utiliser de détergent, tout à la force des 6N exercés par les patins. Pas de défaut ni de grosses surprises en somme.
Test ultime de la tache immonde pour le Deebot T10 Turbo
Vous savez qu’on aime bien répandre la moitié d’une casserole de choucroute sur le sol pour mettre à l’épreuve nos appareils. Cette fois-ci, on s’est contenté d’un tourbillon de ketchup accompagné de quelques pâtes alphabet crues.
Avec la capacité d’aspiration maximale, l’engin s’est tiré en deux temps, ce qui est honorable.
Cela dit, il était déjà saturé, et on a quand même retrouvé un “K” et un “J” gisant aux abords de la station.
Ce qui nous amène naturellement à la question de l’entretien !
Entretien facile et semi-automatique
Ici, on va retrouver les gestes classiques pour ce genre d’appareil : entretien de la brosse principale, des brosses latérales, du réservoir à poussières et de son filtre intégré. Après notre test de la mort, presque tout était imbibé de ketchup : il a donc fallu rincer à l’eau tiède avant de laisser sécher 24 h à l’air libre.
À noter que la brossette d’entretien permettra d’épousseter le filtre à poussière et de récupérer les cheveux sur les brosses et les roues, grâce à un petit crochet. Les patins, quant à eux, sont partis à la machine à laver. Concernant les roues, il a fallu nous en remettre à la brosse rangée entre les deux bacs d’eau de la station auto-nettoyante. Il ne faudra pas non plus hésiter à passer de temps en temps un coup de chiffon propre et sec sur les capteurs et la caméra.
Enfin, on notera la présence d’un rapport d’état des pièces et accessoires (ci-dessous), et de leur durée de vie restante pour un usage optimal.
Nettoyage de la station
La partie automatique du processus se situe dans l’onglet “Connecté”. Là, vous pouvez consulter le niveau de remplissage des deux seaux, et lancer manuellement un lavage/séchage des lingettes.
Pour la partie manuelle, vous pouvez commencer par le bac de nettoyage avec la grosse brosse et le bouton de gauche de la station, qui fera couler un peu d’eau. C’est le même bouton qui vidange le bac après le brossage. D’autre part, il faudra veiller à ce que le filtre du réservoir d’eau propre ne soit pas bouché (il suffit de le rincer à l’eau claire).
Pour terminer, le guide d’entretien vous montre un autre filtre situé dans le bac de nettoyage, qu’il faudra rincer aussi régulièrement.
Verdict Test Deebot T10 Turbo : un achat qui en vaut la peine ?
Presque 1 000 € pour un robot aspirateur-laveur, est-ce bien raisonnable ? On ne le répètera jamais assez : c’est un produit de luxe, donc à considérer comme tel dans votre budget. Questions pécuniaires mises à part, vous pouvez amplement vous fier aux atouts principaux du Deebot T10 : très bonne aspiration, serpillère efficace, application réussie, navigation évolutive tout en restant relativement silencieux. Et pour les passionnés de domotique, ils trouveront bien une manière de s’amuser avec l’assistant vocal, la caméra intégrée et la cartographie 3D, à condition d’être indulgents et de considérer ces innovations comme des curiosités à apprivoiser, et non comme un véritable argument de vente.
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Avec des caractéristiques de compétition, un double patin rotatif et une station auto-nettoyante, le Deebot T10 Turbo a déjà de quoi se hisser au rang des robot aspirateurs-laveurs de premier choix. Certes, l'absence de sacs à poussière pourra en décevoir certains ; pour nous, c'est une manière d'être un poil plus écolo. Enfin, on troquerait volontiers la caméra et la cartographie contre un assistant vocal vraiment au point...
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Efficacité
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Ergonomie
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Application
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Volume Sonore
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Autonomie
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Entretien
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Prix
Cet appareil est vraiment très innovant , c’est seul et pratique . Plus besoin de se casser le dos .
Bravo Julien,
encore et toujours un régal de vous lire,,, le test est une fois de plus sans concession,,, et ça j’adore.
Bonjour,
Test intéressant et éclairant, mais il manque certains aspects, notamment sur le comportement sur les changements de surface (moquette, carrelage, parquet etc…), la présence des tapis est elle bien gérée ?
qu’en est il de la vidange de la poussière ? Est elle automatique ou manuelle et si elle est manuelle, quelle surface peut il être aspiré avant de vidanger le bac ?
Je n’ai pas encore d’aspirateur robot et ce sont des questions que je me pose avant de me lancer…