Face au réchauffement climatique, aux sécheresses et aux pénuries d’eau grandissantes, Elon Musk et Mark Zuckerberg songent à recycler celle qui s’échappe naturellement de votre corps pour alimenter leurs divers appareils !
Comment alimenter indéfiniment les casques VR de Meta ? Où trouver une énergie potentiellement infinie afin de « résoudre des problèmes pour l’avenir de l’humanité » ? Conscients des problèmes environnementaux, Elon Musk et Mark Zuckerberg – des multimilliardaires qui construisent soit des fusées, soit des data-centers gigantesques – ont décidé de mettre leur savoir et moyens en commun dans le but de créer l’énergie verte parfaite : l’eau corporelle ! Comment ça marche ?
L’eau corporelle pour sauver l’humanité !
Le constat est simple : l’électricité produite à l’heure actuelle pollue trop. Dans le but de limiter leur impact sur l’environnement, Elon Musk et Mark Zuckerberg ont cherché une manière d’alimenter leurs créations qui n’utiliserait ni charbon, ni gaz. Les équipes de développement de ce projet seraient arrivées à la conclusion que seules les fluides corporels correspondaient à leur liste de critères.
Meta semble être la société qui a le plus avancé sur le sujet et aurait développé une mousse absorbante spéciale qui recyclerait votre sueur en énergie pour le prochain Meta Quest 3 !
De son côté, Tesla n’a pas dévoilé grand-chose, mais on peut d’ores et déjà imaginer des batteries utilisant cette technologie ou des mousses derrière le volant des futures voitures Tesla.
Comment Meta et Elon Musk comptent récupérer des larmes ?
En plus de la sueur, cette invention pourrait être alimentée par des larmes et sur ce point Meta semble également avoir une longueur d’avance.
Meta : la société qui se baigne dans les larmes
Meta s’est donnée beaucoup de mal ces derniers temps pour accumuler les larmes des investisseurs. Pour ce faire, Mark Zuckerberg n’avait pas hésité à dépenser plus d’un milliard de dollars par mois dans son projet de métaverse alors même que tous les concurrents semblaient abandonner le navire !
Le résultat ? Entre août 2021 et décembre 2022, le groupe Meta avait perdu 70% de sa valeur boursière ! La récolte de larmes avait alors dû être abondante chez les financiers du groupe.
Mais la société de Mark Zuckerberg ne s’est pas arrêté là ! Désireuse de diversifier ses entrées en liquidité, Meta est également allée puiser du côté des employés ou plutôt ex-employés en licenciant plus de 20 000 salariés en moins d’un an !
Si les comptes de la société sont en berne, les cuves à larmes sont pleines !
Twitter : Elon Musk, le principal contributeur de larmes
« Pour moi, il n’a jamais été question d’argent, mais de résoudre des problèmes pour l’avenir de l’humanité »
Elon Musk
De son côté, Elon Musk semble avoir plus de difficultés tirer des larmes… autres que les siennes. Pour rappel, le PDG de Tesla avait acheté Twitter pour 44 milliards de dollars alors que le réseau social n’en coûtait « que » 20 et avait constaté l’échec de son offre payante Twitter Blue.
Tout comme le PDG de Meta, Elon Musk avait tenté d’extraire les larmes de ses employés en les licenciant mais avait par la suite essayé de les réembaucher… Ne voulant pas rester sur un tel échec, le PDG de Twitter avait alors réitéré cette stratégie en février – en licenciant au passage les équipes de Twitter Blue.
Que ce soit l’initiative de Meta ou celle d’Elon Musk, le projet d’irrigation par les larmes semble avoir particulièrement plu à l’État français qui souhaiterait augmenter l’utilisation de grenade lacrymogène à Sainte-Soline – afin de rentabiliser les glandes lacrymales des manifestants et remplir les futures méga-bassines.
[Disclaimer : Ni Elon Musk, ni Mark Zuckerberg, ni l’État n’ont pour but d’extraire les larmes de qui que ce soit ou de transformer cette source d’eau en énergie verte]